VIVRE LIBRE :

LE COMBAT DU CONJOINT

L’autre côté du miroir, c’est vous ! La souffrance de l'aidant, c’est vous !

Vous êtes un conjoint, un frère, une soeur, un parent ou les parents d'une personne dépendante. Nous parlons de vous, qui que vous soyez, qui vivez chaque jour, dans le quotidien de quelqu’un qui souffre d’une addiction comportementale ou bien d’une addiction à un produit.

  • Un de vos proches est dépendant de quelque chose, vous ne comprenez pas ce qui se passe ?

  • Vous ne comprenez pas ce qui vous arrive ?

  • Vous sentez vous de plus en plus seul(e), écrasé(e) par la honte ?

  • Cherchez-vous de l'aide sans savoir vers qui vous tourner par peur d'être jugé(e) ?

  • Vous ne vous sentez plus exister, entrainé(e) par le comportement de votre proche addict ou de votre entourage qui vous juge ?

  • Voulez-vous simplement comprendre ce qui se passe dans la vie de l'un de vos proches ?

  • Un de vos proches est dépendant de quelque chose, vous ne comprenez pas ce qui se passe ?

  • Vous ne comprenez pas ce qui vous arrive ?

  • Vous sentez vous de plus en plus seul(e), écrasé(e) par la honte ?

  • Cherchez-vous de l'aide sans savoir vers qui vous tourner par peur d'être jugé(e) ?

  • Vous ne vous sentez plus exister, entrainé(e) par le comportement de votre proche addict ou de votre entourage qui vous juge ?

  • Voulez-vous simplement comprendre ce qui se passe dans la vie de l'un de vos proches ?

Le Combat du Conjoint - Reconnaître Mon Existence !

Nous voulons nous adresser à vous qui vivez à côté d’une personne “addicte”, à côté de quelqu'un qui combat une addiction.

L’autre côté du miroir, c’est vous. La souffrance du conjoint, c’est vous. Nous voulons vous parler tout particulièrement à vous qui êtes “sur le côté”. Votre souffrance, elle est réelle. Votre fatigue est réelle.


Nous utilisons le mot conjoint parce que dans la plupart des cas, nous pensons à un couple marié, mais pour les personnes célibataires combattant une addiction, ce “conjoint” peut être un frère, une sœur, un parent ou les parents.

Nous parlons de vous, qui que vous soyez, qui vivez chaque jour, dans le quotidien de quelqu’un qui souffre d’une addiction comportementale ou bien d’une addiction à un produit.

Je vis avec un addict, cela ne fait pas de moi un addict !

Vous vivez l’addiction par répercussion, par ricochet. Néanmoins, nous voulons vous rappeler que vous n'êtes pas co-dépendant ! C’est un mensonge que l’on entend souvent, bien trop souvent !


Si vous avez un conjoint qui est « addict » et qui a une dépendance, vous n'êtes pas co-dépendant avec cette personne à l’addiction ou au produit ou au comportement. Vous accompagnez, vous partagez la vie de quelqu’un qui est dépendant, cela ne fait pas de vous un co-dépendant !


Vous n’en êtes pas, non plus, responsable ! C’est toujours le choix de la personne qui est « addict » d’accepter, quelque part, d’autoriser cette addiction à grandir. Attention à ne pas faire un transfert de responsabilité. Même s'il peut y avoir des causes multiples et que certaines attitudes aient pu être un élément explicatif, la décision finale revient toujours à la personne qui accepte l’addiction dans sa vie et qui suit ce chemin.


Vous n'êtes pas responsable de l’addiction de l’autre !

Le Combat du Conjoint - Reconnaître Mon Existence !

Nous voulons nous adresser à vous qui vivez à côté d’une personne “addicte”, à côté de quelqu'un qui combat une addiction.

L’autre côté du miroir, c’est vous. La souffrance du conjoint, c’est vous. Nous voulons vous parler tout particulièrement à vous qui êtes “sur le côté”. Votre souffrance, elle est réelle. Votre fatigue est réelle.


Nous utilisons le mot conjoint parce que dans la plupart des cas, nous pensons à un couple marié, mais pour les personnes célibataires combattant une addiction, ce “conjoint” peut être un frère, une sœur, un parent ou les parents.

Nous parlons de vous, qui que vous soyez, qui vivez chaque jour, dans le quotidien de quelqu’un qui souffre d’une addiction comportementale ou bien d’une addiction à un produit.

Je vis avec un addict, cela ne fait pas de moi un addict !

Vous vivez l’addiction par répercussion, par ricochet. Néanmoins, nous voulons vous rappeler que vous n'êtes pas co-dépendant ! C’est un mensonge que l’on entend souvent, bien trop souvent !


Si vous avez un conjoint qui est « addict » et qui a une dépendance, vous n'êtes pas co-dépendant avec cette personne à l’addiction ou au produit ou au comportement. Vous accompagnez, vous partagez la vie de quelqu’un qui est dépendant, cela ne fait pas de vous un co-dépendant !


Vous n’en êtes pas, non plus, responsable ! C’est toujours le choix de la personne qui est « addict » d’accepter, quelque part, d’autoriser cette addiction à grandir. Attention à ne pas faire un transfert de responsabilité. Même s'il peut y avoir des causes multiples et que certaines attitudes aient pu être un élément explicatif, la décision finale revient toujours à la personne qui accepte l’addiction dans sa vie et qui suit ce chemin.


Vous n'êtes pas responsable de l’addiction de l’autre !

Éric ET Rachel Dufour

Pasteurs, Thérapeutes, Conseillers Conjugaux et Sexologues

Nous sommes aussi parents de cinq garçons, tous devenus adultes aujourd'hui.

Depuis plus de 30 ans, nous accompagnons et aidons les couples, les célibataires engagés à temps plein dans un ministère à retrouver une bonne santé spirituelle et émotionnelle aussi bien pour eux-mêmes que pour leur famille.

Éric ET Rachel Dufour

Pasteurs, Thérapeutes,

Conseillers Conjugaux et Sexologues

Nous sommes aussi parents de cinq garçons, tous devenus adultes aujourd'hui.

Depuis plus de 30 ans, nous accompagnons et aidons les couples, les célibataires engagés à temps plein dans un ministère à retrouver une bonne santé spirituelle et émotionnelle aussi bien pour eux-mêmes que pour leur famille.

Une addiction dans ma vie, dans notre vie ?

On ne devient pas “addict” du jour au lendemain. Il y a un phénomène d’accoutumance, de compensation. De même pour celui qui accompagne, on ne s’en rend pas compte du jour au lendemain. C’est compliqué de voir que cette personne proche de nous est "addict" et parfois le miroir vient de l’extérieur.

On s'en rend compte à cause de réactions d’autres. Quand on est trop proche de cette personne qui combat l’addiction, on n'arrive pas à voir. On se dit après "mais comment ai-je pu ne pas le voir ?" L'état de choc, que vous avez vécu, que vous vivez, est normal.

C’est perturbant. C’est traumatisant de se rendre compte que cette personne que l’on aime et avec qui l’on partage sa vie a remplacé Dieu ou nous-même par cette substance ou ce comportement.

Ces réactions qui me surprennent

Comment peut-on équilibrer notre propre réaction ?

C’est très compliqué. Si vous êtes là, en train de lire ces lignes, c’est que vous aimez cette personne qui est dépendante ! Comme vous l’aimez, vous n’avez pas envie de la perdre, mais en même temps, vous sentez que c’est peut-être vous que vous êtes en train de perdre et qu’il y a cette chose injuste qui est en train de prendre la place de la vie que vous aviez rêvée d’avoir ou que vous étiez en train de construire ou que vous pensiez avoir.


Vous êtes peut-être en train de vous battre contre ce choc, ce déni, cette colère, cette négociation qui vous font perdre pied. Cela entraîne pour vous des choses difficiles et peut conduire à un état dépressif.


Il peut y avoir des va-et-vient entre différentes étapes en fonction de qui vous êtes, en fonction de votre niveau de conscience de la souffrance de votre conjoint ou de votre parent qui a une addiction, puis aussi de votre propre travail sur vous-même, de la propre réalisation de là où vous en êtes.


On peut être fort pendant un temps, mais jusqu'à un certain point. Et on atteint, nous-mêmes, nos propres limites. L’aidant essaye toujours d’être fort pour les deux, d'être fort pour soi-même et pour l’autre en même temps. Mais évidemment, on utilise beaucoup plus de ressources. C’est un petit peu comme une batterie sur laquelle on tirerait beaucoup plus que d’habitude. Eh bien... elle va s'épuiser plus rapidement que la normale. Donc la dépression peut menacer.

Une addiction dans ma vie, dans notre vie ?

On ne devient pas “addict” du jour au lendemain. Il y a un phénomène d’accoutumance, de compensation. De même pour celui qui accompagne, on ne s’en rend pas compte du jour au lendemain. C’est compliqué de voir que cette personne proche de nous est "addict" et parfois le miroir vient de l’extérieur.

On s'en rend compte à cause de réactions d’autres. Quand on est trop proche de cette personne qui combat l’addiction, on n'arrive pas à voir. On se dit après "mais comment ai-je pu ne pas le voir ?" L'état de choc, que vous avez vécu, que vous vivez, est normal.

C’est perturbant. C’est traumatisant de se rendre compte que cette personne que l’on aime et avec qui l’on partage sa vie a remplacé Dieu ou nous-même par cette substance ou ce comportement.

Ces réactions qui me surprennent

Comment peut-on équilibrer notre propre réaction ?

C’est très compliqué. Si vous êtes là, en train de lire ces lignes, c’est que vous aimez cette personne qui est dépendante ! Comme vous l’aimez, vous n’avez pas envie de la perdre, mais en même temps, vous sentez que c’est peut-être vous que vous êtes en train de perdre et qu’il y a cette chose injuste qui est en train de prendre la place de la vie que vous aviez rêvée d’avoir ou que vous étiez en train de construire ou que vous pensiez avoir.


Vous êtes peut-être en train de vous battre contre ce choc, ce déni, cette colère, cette négociation qui vous font perdre pied. Cela entraîne pour vous des choses difficiles et peut conduire à un état dépressif.


Il peut y avoir des va-et-vient entre différentes étapes en fonction de qui vous êtes, en fonction de votre niveau de conscience de la souffrance de votre conjoint ou de votre parent qui a une addiction, puis aussi de votre propre travail sur vous-même, de la propre réalisation de là où vous en êtes.


On peut être fort pendant un temps, mais jusqu'à un certain point. Et on atteint, nous-mêmes, nos propres limites. L’aidant essaye toujours d’être fort pour les deux, d'être fort pour soi-même et pour l’autre en même temps. Mais évidemment, on utilise beaucoup plus de ressources. C’est un petit peu comme une batterie sur laquelle on tirerait beaucoup plus que d’habitude. Eh bien... elle va s'épuiser plus rapidement que la normale. Donc la dépression peut menacer.

Vivre Libre : Le Combat du Conjoint Aborde les Thèmes Suivants

Introduction aux Addictions

  • Mettre des mots sur les maux !

  • Il était une fois ...

  • Conséquences et Solutions

Le Combat du Conjoint
  • Et moi, dans tout cela, je suis quoi ?

  • Non, ce n'est pas possible !

  • Ces réactions qui me surprennent ?

  • Pourquoi ai-je si mal ?

  • J'ai le droit de penser à moi !

Introduction aux Addictions

  • Mettre des mots sur les maux !

  • Il était une fois ...

  • Conséquences et Solutions

Le Combat du Conjoint
  • Et moi, dans tout cela, je suis quoi ?

  • Non, ce n'est pas possible !

  • Ces réactions qui me surprennent ?

  • Pourquoi est-ce que j'ai si mal ?

  • J'ai le droit de penser à moi !

J'ai le droit de penser à moi !

C’est insupportable, c’est injuste, c’est difficile et Dieu voit vos larmes et les compte, une à une.

Prenez soin de votre âme, prenez soin de votre corps aussi. Tous les efforts que vous mettez en avant aujourd'hui sont pour lui ou pour elle, parce que c’est lui/elle qui se bat contre ce monstre insupportable, mais vous avez besoin de rester en vie à l'intérieur et de ne pas vous écrouler physiquement. Prenez du recul. Prenez du repos.


Prenez soin de vous, de votre âme, au niveau du pardon. Ne laissez pas de l’amertume grandir face à l’addiction. Ne vous trompez pas d’ennemi. La vérité est aussi à ce niveau là. L’ennemi est en dehors de votre couple, de votre famille. Il se trouve à l’extérieur. La personne que vous aimez se bat aussi contre le même ennemi. Gardez votre cœur de l’amertume qui pourrait grandir à cause de ce que vous subissez.


Ce combat n’était pas le vôtre au démarrage. Il est devenu le vôtre aujourd’hui. Vous avez besoin de respirer pour pouvoir rester efficace et ne pas vous perdre.


Donc, prenez soin de vous physiquement, émotionnellement, spirituellement. Dieu est avec vous également.

Souvenez-vous que celui ou celle que vous aimez est encore à l'intérieur de cette personne qui combat l’addiction. L’addiction affecte la zone de décision, affecte qui l’on est, affecte l'identité. Elle est nourrie par des mensonges. Cela devient plus fort que celui ou celle que vous aimez. Donc, gardez confiance en Dieu et foi dans celui ou celle que vous aimez qui est caché(e) à l'intérieur.


De l’autre côté de l’addiction, du côté de la liberté, vous allez la retrouver, vous allez le retrouver ! Vous allez pouvoir redevenir ce partenaire dans la vie, cette famille dont vous rêviez et que vous aviez peut-être avant ou que vous voulez construire aujourd’hui.

J'ai le droit de penser à moi !

C’est insupportable, c’est injuste, c’est difficile et Dieu voit vos larmes et les compte, une à une.

Prenez soin de votre âme, prenez soin de votre corps aussi. Tous les efforts que vous mettez en avant aujourd'hui sont pour lui ou pour elle, parce que c’est lui/elle qui se bat contre ce monstre insupportable, mais vous avez besoin de rester en vie à l'intérieur et de ne pas vous écrouler physiquement. Prenez du recul. Prenez du repos.


Prenez soin de vous, de votre âme, au niveau du pardon. Ne laissez pas de l’amertume grandir face à l’addiction. Ne vous trompez pas d’ennemi. La vérité est aussi à ce niveau là. L’ennemi est en dehors de votre couple, de votre famille. Il se trouve à l’extérieur. La personne que vous aimez se bat aussi contre le même ennemi. Gardez votre cœur de l’amertume qui pourrait grandir à cause de ce que vous subissez.


Ce combat n’était pas le vôtre au démarrage. Il est devenu le vôtre aujourd’hui. Vous avez besoin de respirer pour pouvoir rester efficace et ne pas vous perdre.


Donc, prenez soin de vous physiquement, émotionnellement, spirituellement. Dieu est avec vous également.

Souvenez-vous que celui ou celle que vous aimez est encore à l'intérieur de cette personne qui combat l’addiction. L’addiction affecte la zone de décision, affecte qui l’on est, affecte l'identité. Elle est nourrie par des mensonges. Cela devient plus fort que celui ou celle que vous aimez. Donc, gardez confiance en Dieu et foi dans celui ou celle que vous aimez qui est caché(e) à l'intérieur.


De l’autre côté de l’addiction, du côté de la liberté, vous allez la retrouver, vous allez le retrouver ! Vous allez pouvoir redevenir ce partenaire dans la vie, cette famille dont vous rêviez et que vous aviez peut-être avant ou que vous voulez construire aujourd’hui.

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Questions Fréquentes

Des Sous-Titres sont-ils disponibles ?

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Dès la confirmation de votre achat. Elles sont disponibles 24/7 dans votre bibliothèque. Vous décidez de votre rythme.

Pendant combien de temps ai-je accès aux vidéos ?

Aussi longtemps que vous voulez..

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Nous vous recommandons de terminer toutes les vidéos ou l'ebook, car ils répondent déjà à beaucoup de questions courantes. Dans nos emails de nouvelles, nous répondons aussi à des questions posées. Nous ne pouvons vous garantir une réponse individualisée au vue du nombre important d'emails que nous recevons. L'achat d'un produit ne donne pas accès à une consultation avec Éric ou Rachel.

J'ai le Droit de Penser à Moi !

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